Un peu peureux au départ, nous avons beaucoup travaillé avec Corso et le monde extérieur, au tout début, avec toute la famille, en plaine dans la campagne, à se promener sans laisse mais avec un collier, celui qui démange, qui gêne quand on le met... de temps en temps la laisse accrochée au collier alors ça ce n'est pas évident d'après Corso, et puis quand il ne voulait pas avancer avec la laisse et ben il restait sur place avec le collier et la laisse et nous, nous continions à marcher sans s'en occuper, et il revenait tout seul vers nous. la 2 eme phase, avec sa maîtresse et son petit maître de 5 ans, les balades quotidiennes à l'école, au départ il fallait le porter une bonne partie du chemin pour l'emmener voir les enfants, par contre le retour se faisait en laisse mais rapidement... pressé de rentrer le chien !!, Ensuite avec son maître sur les marchés, les foires on a appris à marcher en laisse au pied, au milieu de plein de monde trés grand, et surtout à ne pas avoir peur des gens qui venaient le carresser... A la maison, dés que nous en avons le temps nous commençons à travailler le rappel, assis, coucher, pas bouger et ça marche, bon ok dés fois il y avait une petite récompense à la clé, en tout cas à ce jour Croso demande pour aller à l'école, dés son arrivée, il s'assoit prés de son maître et les enfants, les adultes aussi d'ailleur, viennent lui faire une petite caresse, il faut dire que les caresses Corso il aime bien, non il adore.
Depuis peu, nous sommes inscrit dans un club d'éducation canine (Soissons) pour pereniser tout ce que j'ai déjà appris mais aussi et surtout pour me familiariser avec mes cousins à 4 pattes. Tous les dimanches matin je suis donc pris....
A si j'oubliai, jusqu'a ce que j'écrive ce mot, Corso n'a toujours pas reçu une seule fessée, et ses bêtises souvent minimes sont punies par un sitting dans son panier et un long boudage. C'est Corso qui viendra de temps en temps voir si nous boudons toujours, si c'est le cas il repart dans son panier.
Voila j'ai du zapper quelques passages mais bon les grandes lignes sont là.